2 août 2009 7 02 /08 /août /2009 16:34

Expression typiquement franc-comtoise signifiant avoir meilleur temps... euh pardon ! je vais essayer de le dire autrement... avoir intérêt, avantage.

Exemple : "A c't'heure-là, t'as meilleur temps de pas prendre le boulevard, sinon t'es pas rendu !"

Signification : A cette heure d'affluence, tu aurais intérêt de choisir une autre route que le "boulevard" (axe de circulation bien connu des Bisontins) sinon tu risques d'être retardé dans les embouteillages.

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29 juillet 2009 3 29 /07 /juillet /2009 20:44

 



C'est le grand jour pour http://brussey.over-blog.com/, le vrai démarrage...

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23 juillet 2009 4 23 /07 /juillet /2009 21:29

Un label pour 31 communes rurales qui présentent toutes un patrimoine urbain, architectural et paysager de premier ordre.

Le but : préserver, valoriser et promouvoir ce patrimoine.





Carte des PCCC, récupérée sur le site de l'Association :
www.petites-cites-comtoises.org
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21 juillet 2009 2 21 /07 /juillet /2009 22:23


Week-end passé hors de la Franche-Comté, à Morzine (74 - Haute-Savoie).

Le temps, samedi 18, jour de notre arrivée, n'était pas folichon !!! 6° à Morzine, à 1000 m d'altitude.

Pas gênant quand on aime la montagne... Bien habillé et bien chaussé, un Franc-Comtois n'a peur de rien... D'autant plus que chez nous, c'est un peu pareil : il ne fait froid que deux mois dans l'année, en juillet et en août quand on coupe le chauffage !


MORZINE-ARDENT-BRUME


Ardent, près du lac de Montriond, brumes...


MORZINE-ARDENT


MORZINE-CASCADES-D-ARDENT-1


Cascades d'Ardent : celle-ci à gauche...


MORZINE-CASCADES-D-ARDENT-2


... et celle-ci à droite se rejoignent dans un grand tumulte


MORZINE-ARDENT-RACINES
 


Tout près, caprices de Dame Nature.



Dimanche, meilleur temps à Morzine... Mais comme on a la tête dure, on monte et là, ça se dégrade. On est dans les nuages : Avoriaz 1778 m d'altitude...


AVORIAZ-1800


Et si on montait encore plus haut ??? Cap ou pas cap ?


AVORIAZ-POINTE-DU-FORNET-2300-M


De plus en plus frais, Pointe du Fornet (2300 m)


AVORIAZ-FLEURS


AVORIAZ-BIENTOT-AU-COL-DE-CHAVANETTE


Un regard en arrière, Avoriaz semble bien loin !


AVORIAZ-COUCOU


Quelques rares randonneurs...


PAS-DE-CHAVANETTE-LA-FRONTIERE-2217-M


Pas de Chavanette, 2217 m, nous voici arrivés à la frontière Suisse


PAS-DE-CHAVANETTE-2217-M-LA-SUISSE1


Pas de Chavanette, vue sur la Suisse


PAS-DE-CHAVANETTE-LA-SUISSE2


PAS-DE-CHAVANETTE-LA-SUISSE3


Les Dents Blanches et les Dents du Midi se cachent derrière les nuages... Dommage ! Mais c'est très beau quand même.


PAS-DE-CHAVANETTE-UN-CHAMPION


Et voici mon champion de fils, 4 ans, un costaud ! Bravo !


Lundi, grand beau temps...


MORZINE-LA-CLEF-DES-CHAMPS


L'Hôtel "La Clef des Champs" à Morzine


MORZINE-LES-DERECHES-RACINES


Petite mise en jambe au parcours santé des Dérêches à Morzine


COL-DE-JOUX-PLANE-1712-M-VUE-MONT-BLANC



Puis direction le Col de Joux Plane, 1712 m... et sa vue magnifique sur le Mont Blanc. J'aime beaucoup cet endroit... Une petite photo... mon nouveau fond d'écran...
 


COL-DE-JOUX-PLANE-1712-M-jpg


Zoom...


COL-DE-JOUX-PLANE-1712-M


Quoi de plus beau ?


COL-DE-JOUX-PLANE----


Ah... peut-être les têtards dans le lac !

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5 juillet 2009 7 05 /07 /juillet /2009 21:47

CHATEAU-CHALON, Petite Cité Comtoise de Caractère... est un village du vignoble Jurassien, perché sur un éperon rocheux. Il domine la vallée de la Haute-Seille qui coule dans la reculée de Baume-les-Messieurs.



Bienvenue à Chateau-Chalon...



Vue imprenable...



... sur le vignoble



Village pittoresque...



... très pittoresque




Maison où vécu Bernard CLAVEL (prix GONCOURT)



L'Eglise Saint-Pierre (XII e siècle)



Et si on visitait l"école de 1928 ?



... un problème à résoudre...



... difficile avec la plume et l'encrier...



... mais il faut à tout prix éviter le bonnet d'âne !



Vue imprenable...



... et patrimoine...




feront la joie des visiteurs de Chateau-Chalon.

Ah... j'oubliais : LE CELEBRE VIN JAUNE, AOC CHATEAU-CHALON :


Cette dernière photo est issue de : http://vin-chateau-chalon.com/


Avez-vous lu mon article sur le vignoble jurassien : LE JURA : LE PLUS PETIT DES GRANDS VIGNOBLES dans la rubrique A TABLE ? Vous y retrouverez le fabuleux VIN JAUNE...

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21 juin 2009 7 21 /06 /juin /2009 16:00

Bienvenue dans le Jura, LE PLUS PETIT DES GRANDS VIGNOBLES...

... Alors que la Route touristique des Vins du Jura vient d'être élue "Destination Touristique Européenne d'Excellence".

Précisons d'abord que 90% de la surface viticole jurassienne produisent des vins d'appellation, nos vins sont donc des vins de grande qualité :

quatre appellations "géographiques" : Arbois, Château-Chalon, l’Étoile et Côtes du Jura,
deux AOC "produits" : Macvin du Jura et Crémant du Jura.


Cartographie du vignoble du Jura, impossible de donner la source : on la trouve sur plusieurs sites, dans plusieurs livres parlant du vignoble...


Voici les différents cépages du vignoble Jurassien (3 rouges et 2 blancs) :



LE TROUSSEAU : il donne des vins sombres et robustes. Ce cépage est issu d'un croisement entre le "Petit Verdot" (un des cépages bordelais) et le "Duras" (vieux cépage français que l'on trouve encore dans la vallée du Tarn).

LE POULSARD : également appelé PLOUSSARD à ARBOIS et PUPILLIN. Il donne des vins d'une grande finesse aromatique. Sa couleur est souvent claire, mais  ce n'est pas un rosé.

LE PINOT NOIR : cépage très répandu en France, qui donne des vins d'une belle couleur, d'une grande complexité aromatique.


JURA-ROUGES

Trousseau, Poulsard et Pinot noir, les vins rouges du Jura


LE CHARDONNAY : cépage blanc originaire de Bourgogne, très répandu dans le monde (100.000 hectares de chardonnay seraient plantés à travers le monde). Il peut donner des vins très différents selon le terroir et la vinification.

LE SAVAGNIN : c'est le cépage roi du vignoble jurassien, une presque exclusivité (vous pourrez le trouver dans le Haut-Valais Suisse, sous le nom d'Heida et en Alsace, dans sa variante rose sous le nom de Klevener). C'est un cépage cousin du Gewürztraminer.

Vinifié en blanc sec, il donne alors son nom au SAVAGNIN, une des perles des vins Jurassiens, au goût très particulier de noix et noisettes, typique des vins du terroir.

La plupart des vignerons procèdent à des assemblages CHARDONNAY et SAVAGNIN selon des proportions propres à chacun (10 à 40% de SAVAGNIN).

Le BETHANIE : vin composé de 60% de CHARDONNAY et de 40% de SAVAGNIN, est un de ces assemblages, marque déposée par la Fruitière Vinicole d'Arbois et son Château Béthanie. Pour une bouteille à un peu plus de 8 €, vous aurez une valeur sûre.


P1000099.jpg


Le cépage SAVAGNIN sert aussi à l'élaboration du célèbre VIN JAUNE, un "vin de voile" comme on en trouve très peu, justement considéré comme l'un des plus grands vins du monde. Ce vin, une fois sa fermentation achevée, est conservé en fûts ouvert 6 ans et 3 mois. Un voile de levure se développe en surface et protège le vin de l'oxydation. Une fois le vieillissement terminé, le VIN JAUNE est mis en bouteille en CLAVELIN de 62 cl (1 l de jus de raisin se réduirait globalement à 62 cl à la fin du vieillissement). Le VIN JAUNE peut être conservé 1 siècle sans altération.


P1010462.jpg
Vin Jaune de Bernard Badoz (Source : ma cave)


Le VIN DE PAILLE, vin liquoreux, est une autre curiosité des vins du Jura : élaboré à partir des cépages SAVAGNIN, CHARDONNAY ou POULSARD. Les plus belles grappes sont choisies et doivent sécher au moins 6 semaines (généralement 3 à 5 mois) sur un lit de paille (c'est la méthode traditionnelle), c'est le "passerillage". Cette étape va assurer la concentration des sucres par déshydratation. Aujourd'hui, d'autres méthodes existent : séchage sur pied, sur des petites caisses en bois, en plastique... dans des granges ou geniers secs et aérés. Les raisins sont pressés entre Noël et fin Février, avec un très faible rendement : 20 l environ pour 100 kg de raisins séchés. Le jus fermente alors en cuve jusqu'à atteindre 14 à 18,5° d'alcool, puis vieilli en fût de chêne pendant encore 3 ans. Le VIN DE PAILLE se commercialise dans des petites bouteilles de 37,5 cl.

Le MACVIN DU JURA est obtenu à partir de jus de raisin non fermentés, les moûts, auquel on intègre un tiers de marc. Il est élevé au minimum pendant 12 mois en fûts de chêne et doit présenter entre 16° et 22° d’alcool pour obtenir l’AOC. Les cinq cépages jurassiens répertoriés dans l’AOC "Côtes du Jura" sont tous autorisés dans la production de moûts destinés au Macvin du Jura. Il peut donc être blanc ou rouge, mais la plupart des vignerons le produisent en blanc.

Le CREMANT DU JURA est un vin pétillant, issu des cépages POULSARD, PINOT NOIR, TROUSSEAU, CHARDONNAY et SAVAGNIN.

N'oublions pas la FINE ou MARC DU JURA.


P1010457.jpg
Vieille Fine de la Fruitière Vinicole de Pupillin (48%)
et Marc égrappé de la Fruitière Vinicole d'Arbois (53%)... hips...



Les fêtes et évènements célèbrant les vins du Jura sont nombreux :

La Percée du Vin Jaune qui attire début février plus de 40.000 visiteurs (tous les ans).

La Fête du Trousseau à Montigny-les-Arsures, tous les 3 ans. Elle aura lieu le 23 août 2009.

Les Petites Fêtes de Dyonisos, promenades littéraires dans les chemins vignerons, rencontres-débats et lectures, repas gastronomiques à thème, tous les ans, début Juillet, secteur d'Arbois.

 

La Cérémonie du Biou (tous les ans) : le Dimanche 6 Septembre 2009 à Arbois, le Dimanche 20 Septembre à Pupillin.



Pour une information complète sur les vins du Jura et les nombreux évènements qui vous attendent : http://www.jura-vins.com/ et http://www.laroutedesvinsdujura.com/

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8 juin 2009 1 08 /06 /juin /2009 20:57

Le Doubs prend sa source à 945,50 m d'altitude à Mouthe (département du Doubs, 25), commune réputée la plus froide de France.

Le repère IGN sous la source est côté à 944,932 m. La source du Doubs est située à 945,50 m, alors que de nombreux manuels vous la signale à 937 m ! (Merci à JESA pour ces précisions).


Le Doubs, de sa source à sa disparition dans la Saône, parcourt 458 km alors que les deux points ne sont séparés que de 90 km environ à vol d'oiseau. Rivière capricieuse ? Indécise en tout cas !


 

Le parcours du Doubs sur wikipedia


Tout d'abord mince cours d'eau, le Doubs part en direction du NORD-EST,


Le Doubs quelques kms après sa source (Photo : Lumixare sur fond-ecran-image.com)


Il parcourt environ 20 km avant de traverser les lacs de Remoray et Saint-Point,


Lac de Remoray et lac St Point dans le fond (Photo : Webmaster FEI sur fond-ecran-image.com) 


Lac St Point gelé en hiver (Photo : Monique.t sur fond-ecran-image.com)


Lac St Point gelé en hiver (Photo : linternaute.com)


Il traverse ensuite Pontarlier, puis le village d'Arçon, où ses pertes iront former la Loue,

Comment a-t-on découvert que la Loue était une résurgence du Doubs ? Pour en savoir plus : LA LOUE, RESURGENCE DU DOUBS ET AFFLUENT DU DOUBS ! rubrique HISTOIRE.


Le Doubs à Pontarlier (Photo : linternaute.com)


Montbenoît puis Morteau (le Saugeais),


Le Défilé d'Entreroches


Le défilé d'Entreroches en hiver (Photo : cancoillotte.net)


Villers-le-Lac...

A cet endroit, il devient frontière naturelle entre la France et la Suisse. Il traverse le lac de Chaillexon et le Lac des Brenets,


Le lac des Brenets (Photo : vanil.noir photostream sur flickr.com)


Les Bassins du Doubs (Photo : Virginie Buron sur linternaute.com)


Le Doubs se présente alors sous son aspect le plus spectaculaire, le Saut du Doubs...
spectaculaire chute de 27 mètres...


Le Saut du Doubs (Photo de moi...)


Le Saut du Doubs (Photo : Jérémy Bourdin sur linternaute.com)


Le  Saut du Doubs en hiver (Photo : Josette Guillaume sur linternaute.com)


Il traverse ensuite de magnifiques canyons...


Les canyons du Doubs (Photo : Samuel Wernain sur linternaute.com)


avant d'être retenu par le barrage du Chatelot (production d'électricité).


Le Barrage du Chatelot (Photo : wikipedia)


Le Barrage du Chatelot (Photo : Josette Guillaume sur linternaute.com)


De nombreux belvédères offrent une vue de toute beauté.

A Clairbief, la rivière entre en Suisse et file toujours tout droit au Nord-Est jusqu'aux environs de Saint-Ursanne (à mi-chemin entre Porrentruy et Delémont).


Ste-Ursanne en Suisse (Photo : Spidyjerry sur fond-ecran-image.com)


Après cette incursion en Suisse voisine, la rivière repique alors vers l'Ouest pour rejoindre la France, et continue dans cette direction jusqu'à Saint-Hyppolite, 

une dernière hésitation, la rivière prend la direction du Nord jusqu'aux abords de Montbéliard où elle accueille les eaux du Dessoubre,

puis fait volte-face pour filer tout droit au Sud-Ouest en direction de L'Isle-sur-le-Doubs, Baume-les-Dames, Besançon et Dole.


La Vallée du Doubs entre Deluz et Laissey (Photo : wikipedia)


Besançon et la boucle du Doubs (Photo : Phil The WebSurfer sur flickr.com, mais je ne suis pas sûre qu'elle soit de lui !)


Le Pont Battant et les quais (Photo : Phil The WebSurfer sur flickr.com)


Canards au soleil (Photo : Gipe 25 photostream sur flickr.com)


Dole et sa collégiale (Photo : Gipsy34 sur fond-ecran-image.com)


Le Doubs à Dole (Photo : wikipedia)


La rivière accueille ensuite la Loue, avant d'aller se jeter dans la Saône (elle-même affluent du Rhône) à Verdun-sur-le-Doubs (Département de la Saône-et-Loire, 71).


Verdun-sur-le-Doubs, centre du bourg, le Doubs (Photo : wikipedia)


Verdun-sur-le-Doubs, confluent du Doubs (à droite) et de la Saône (à gauche)
(Photo : wikipedia)

Source du Doubs (Photo : wikipedia)


Le Doubs à Mouthe (Photo : la Fan Belfortain sur fonds-ecran-image.com)

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28 mai 2009 4 28 /05 /mai /2009 22:06

Photo de Webmaster FEI sur fon-ecran-image.com


Jolie photo... j'adore la Franche-Comté même dans le brouillard... mais vous le savez déjà.

C'est l'occasion de revoir mon article sur LA MONTBELIARDE, rubrique L'IDENTITE COMTOISE.

Vous n'allez pas me croire, mais dans mon petit village, une plainte a été formulée contre les déjections bovines sur la voie publique !!!

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27 mai 2009 3 27 /05 /mai /2009 20:47
Roman écrit à quatre mains,
par Françoise RODARY, bibliothécaire-documentaliste, habitant la Lousiane,
et J.Michel GUYOT, prof d'Allemand à Lille,
tous deux la cinquantaine et originaires de Besançon.


LE SANG DES FEMMES, PRIX PERGAUD 2008  
 

Franche-Comté, fin du 19e… Julie Violet, la sage-femme du village, mène l’enquête au fil des pages et des saisons. Elle finira par élucider le mystère lié à la découverte du cadavre d’un nouveau-né et donne au lecteur l’occasion de (re)découvrir les conditions de vie de cette époque dans une campagne au climat rude. L’héroïne, toujours du côté des femmes, dévoile son savoir-faire auprès des femmes et des nouveau-nés.

Le suspense est maintenu jusqu’au jour où, trente ans après les faits, le témoignage d’un visiteur inattendu permet à Julie Violet d’assembler toutes les pièces du puzzle.




Du côté des lecteurs :

Yvonne Meyer, sage-femme : "Etant formatrice de sages-femmes à la Haute Ecole Cantonale Vaudoise de Sages-Femmes, j'admire comme les auteurs du sang des femmes ont su camper Julie Violet, la sage-femme d'un village retiré du Doubs à la fin du XIXe. On la voit à l'œuvre dans des situations obstétricales complexes comme grossesse dissimulée, malposition fœtale, naissance gémellaire, ... alliant humanité et gestuelle professionnelle sûre. Ces qualités sont aujourd'hui toujours nécessaires, même si avec les nouvelles techniques, la profession évolue. Ce qui rend Julie Violet particulièrement attachante et actuelle, c'est son rapport aux femmes : d'abord à leur service, sans jugement, quelle que soit leur histoire. Ce partenariat femme - sage-femme est fondamental au moment où une famille s'agrandit."


Marie-Odile Caillet, Ecole de sages-femmes Besançon : "Le Sang des Femmes est un bel hommage à notre travail: on se rend compte de la dureté de la profession avec le manque de sommeil, le stress dans les situations d'urgence et la joie de s'en être sorti ensuite (avec la suée qui va avec ...), et puis la reconnaissance des gens en général, le souvenir que les gens gardent de nous toute leur vie bien souvent, le plaisir qu'on a aussi à revoir nos petits devenus adultes ensuite... Je me suis bien reconnue au travers de Julie Violet, et puis il y a de belles descriptions des manœuvres obstétricales qui montrent bien les connaissances de la sage-femme. A mettre dans les mains de toutes les sages-femmes !"


"J'ai lu en deux soirs votre livre. J'ai beaucoup apprécié votre style qui convient tout à fait au récit que cette sage-femme fait de sa vie. On sent que vous avez bien étudié ces questions très imbriquées: vie de femme, vie de sage-femme et la dureté de leur existence respective. J'ai déjà offert le livre à une amie... sage-femme également. Bravo !"


"La lecture m'a été agréable, l'histoire de cette sage-femme est touchante...ainsi que celle des autres personnages. Vous vous êtes en effet bien documentée sur le sujet, les termes techniques obstétricaux sont justes et les situations que vous décrivez me semblent assez proches de la réalité années-là. Dans le cadre de mon travail de recherche pour mon mémoire de fin d'études, je m'étais moi-même documentée sur les accouchements ayant lieu à cette époque, et votre récit correspond à mes lectures."


Eilvys70 : "Une très jolie histoire... on remonte le temps dans cette région magnifique mais pourtant si rude. Les auteurs ont réussi l'exploit d'écrire chacun leurs parties du livre sans jamais qu'on ne s'aperçoive d'un quelconque changement de style ! Le livre est également très enrichissant car très bien documenté sur la vie de nos ancêtres et le métier de sage-femme. En plus de ça, l'intrigue est passionnante ! A lire absolument..."


Echos de la Presse :

« Un livre qui fait du bien »
« Passionnant et instructif »
« Remarquable et diablement efficace »
« Ecrit un peu comme un scénario de film »
« Entre monographie rurale et polar finement ciselé »
« Un univers qui n’est pas sans rappeler ceux de Bernard Clavel ou de Marcel Aymé »


Dans toutes les librairies du Doubs, ou sur internet (amazon.fr)  ou 03-81-51-11-36
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17 mai 2009 7 17 /05 /mai /2009 20:19

La Vache qui rit, célèbre à travers le monde, est née à Lons-le-Saunier (Jura) en 1921 grâce à Léon BEL. L'illustrateur Benjamin RABIER avait alors imaginé sa bouille souriante et Léon BEL avait ajouté ses boucles d'oreilles en forme de boite de fromage.


vache-qui-rit1

Photo issue d'une annonce sur le boncoin.fr


Aujourd'hui, le groupe BEL, aidé des collectivités locales, ouvre le musée de la Vache qui Rit dans une maison écolo à Lons : ouverture au public prévue Jeudi 21 Mai 2009, pour l'Ascension.


vache-qui-rit2

Photo issue d'une annonce sur le boncoin.fr


Le musée, construit sur les lieux même de la première usine de fabrication, a coûté 10 millions d'euros, dont 9 millions investis par le groupe BEL, le reste par le Conseil Régional de FC, le Conseil Général du Jura et la Ville de Lons-le-Saunier.


Vache-qui-rit3

Photo issue d'une annonce sur le boncoin.fr


Le groupe BEL emploie aujourd'hui 12000  personnes, et fabrique :

Vache qui Rit,
Leerdammer,
Kiri,
Babybel,
Boursin,
Apéricube,
Cousteron,
Syrtos,
Port Salut,
Sylphide,

dans 27 usines dont deux en Franche-Comté : Lons-le-Saunier et Dole.



vache-qui-rit4

Photo issue d'une annonce sur le boncoin.fr


La Vache qui Rit se vend sur les 5 continents, dans plus de 120 pays. Toutes les 20 secondes, 2300 portions de Vache qui Rit sont englouties dans le monde. (Statistiques tirées de http://www.bel-tchizbox.com/)

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